Revue de presse

Fonds d’ajustement à la mondialisation des députés en faveur du maintien du FEM

Europolitique , Vendredi 30 Septembre 2011

Les députés européens souhaitent maintenir le Fonds européen d’ajustement à la mondialisation (FEM)  » tant à court qu’à moyen terme « . Réunis en session plénière le 29 septembre, ils ont appuyé la proposition de la Commission de proroger jusqu’en 2013 les dispositions temporaires du FEM introduites suite à la crise ; et se sont prononcés pour le maintien du Fonds après 2013. Ce vote a une valeur de symbole puisque trois quarts des demandes d’aide pour la réinsertion ou la reconversion des salariés licenciés concernent des licenciements intervenus suite à la crise. D’autant que les discussions sur le budget de l’UE pour la période 2014-2020 sont en cours et que quatre Etats membres – contributeurs nets – ont déjà manifesté leur opposition au maintien des dispositions de crise du FEM.

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Union européenne / Répondre à la crise de la dette

« Le marché du travail plutôt que les salles de marché »

Le Mercredi 28 septembre 2011

Le Parlement européen se prononcera ce midi sur un paquet législatif censé apporter une réponse à la crise de la dette, alors que les capitales européennes poursuivent leur étude de l’inquiétant cas grec. Le tout sous l’œil attentif des places financières, dont les courbes restent fébriles.
Elles étaient à la fête hier, mais que diront-elles aujourd’hui? Les bourses mondiales, actrices principales d’un «été meurtrier», comme le dit la socialiste française Pervenche Bérès, ont les écrans rivés aux quatre coins de l’Europe où se joue une semaine cruciale à Athènes, Berlin (lire ci-dessous), Bruxelles, et Strasbourg.
Ce midi, elles surveilleront le vote du «Six-Pack», paquet de six textes législatifs voués à répondre aux crises de la dette qui minent la zone euro. Une réponse qui se veut «musclée», comme un clin d’œil au fait que le «Six-Pack», en pays anglophones, désigne les abdominaux de ceux qui en prennent soin…


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Le ton monte contre les accords fiscaux suisses; De plus en plus de voix s’élèvent, à Strasbourg et à Bruxelles, pour condamner l’Allemagne et le Royaume-Uni

Le Temps
Jeudi 15 Septembre 2011

Le sort européen du projet «Rubik» passe-t-il par la case grecque? Au parlement de Strasbourg, la ­signature par l’Allemagne et le Royaume-Uni de deux accords fiscaux avec la Suisse provoque en tout cas une nouvelle levée de boucliers, motivée cette fois par la situation en Grèce. Affirmant que l’évasion fiscale grecque dans les banques helvétiques représente environ 200 milliards d’euros, soit plus que le dernier plan de sauvetage de l’UE (158 milliards y compris l’implication des créanciers privés), plusieurs euro­députés ont exigé mercredi que la Commission européenne hausse le ton envers Berne. Avec, comme modèle, les pressions exercées actuellement sur la Confédération par les Etats-Unis.

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Le nombre de sans abri abris explose dans l’Union européenne

La crise économique et les mesures d’austérité font exploser le nombre de sans abri dans l’Union européenne et en particulier en Grèce, au Portugal, en Espagne, en Italie et au Royaume-Uni. Les hausses vont de +15% à +50% selon les pays.

Face à cette réalité de plus en plus inquiétante, le Parlement européen a voté mercredi une résolution demandant à la Commission de prendre des initiatives pour lutter contre ce fléau.

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Crise en Grèce : la député européenne Pervenche Berès défend Papandréou

Article Toulouse7.com, mercredi 14 septembre 2011
La députée socialiste Pervenche Berès, rapporteur de la commission spéciale sur la crise financière, économique et sociale du Parlement européen a condamné l’absence totale d’action à l’échelle européenne en matière de lutte contre l’évasion fiscale lors du débat sur la crise économique et l’euro organisé aujourd’hui au Parlement européen.

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Pour une agence publique européenne de notation.

L’Humanité

Mercredi 31 Août 2011

Pervenche Berès,

Députée européenne (PS).

« Standard & Poor’s a dégradé la note des États-Unis, pourquoi est-ce que Moody’s et Fitch ne l’ont pas suivi ? Parce que la main qui les nourrit les aurait tués. Les agences privées américaines de notation, confortées par la complaisance du législateur, se sont arrogé un droit de préemption en matière de politiques économiques. Pourtant elles se trompent lourdement: en septembre2008, elles attribuaient une excellente note à Lehman Brothers, qui devait s’effondrer quelques jours après pour avoir trop parié sur la solidité du marché toxique des subprimes…

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Spécial Conseil européen du 21 juillet 2011

Monnaie européenne : une responsabilité conjointe et solidaire

par Pervenche Berès, députée européenne (PS), rapporteur de la commission spéciale crise du Parlement européen. Le Monde, 22/07/11

L’heure n’est plus à la coordination, pour cela il est trop tard. L’enjeu actuel est de sauver l’euro, et donc l’Union européenne elle-même, de sauver l’épargne des Européens et leur modèle social. Nous avons besoin d’un saut qualitatif dans la prise de décision politique, d’une prise de conscience pour dépasser les intérêts nationaux de court terme, le trop peu, trop tard.

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Interview RFI

Écouter l’interview sur RFI du vendredi 22 juillet 2011

Pervenche Berès : « La taxe sur les transactions financières est aussi innovante que la TVA il y a 50 ans »

Toute l’Europe

Mercredi 6 juillet, à l’occasion de la session plénière du Parlement européen, l’eurodéputée Pervenche Berès (S&D), présidente de la commission Emploi et Affaires sociales et membre de la commission spéciale CRISE, participait au petit-déjeuner européen de l’ENA sur le thème « Faut-il une fiscalité européenne pour sortir de la crise ? ». A cette occasion, Toute l’Europe l’a interrogée sur son rapport d’initiative, voté le jour même, présentant ses recommandations sur les leçons à tirer de la crise financière, économique et sociale. Interview.



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Monnaie européenne : une responsabilité conjointe et solidaire

par Pervenche Berès, députée européenne (PS), rapporteur de la commission spéciale crise du Parlement européen

Le Monde, 22/07/11

L’heure n’est plus à la coordination, pour cela il est trop tard. L’enjeu actuel est de sauver l’euro, et donc l’Union européenne elle-même, de sauver l’épargne des Européens et leur modèle social. Nous avons besoin d’un saut qualitatif dans la prise de décision politique, d’une prise de conscience pour dépasser les intérêts nationaux de court terme, le trop peu, trop tard.

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